Au regard du consensus des analystes, l’année 2025 devait être le prolongement de 2024 avec la poursuite de la hausse de la bourse américaine et une stagnation des bourses européennes. En effet, sous l’impulsion de la politique pro business de Trump, les Etats-Unis devaient maintenir leur leadership grâce aux mesures de baisse des impôts, de dérèglementation, de contrôle de l’immigration et d’une hausse modérée des droits de douane.

Or, de manière totalement inattendue, en raison d’une fixation de droits de douane délirants, Trump a fait plier les marchés boursiers avec, en premier lieu, celui des Etats-Unis dont le recul a atteint 25 % pour les investisseurs européens en raison de la baisse concomitante du dollar face à l’euro.

Selon Donald Trump, tous les maux viennent des effets de la mondialisation qui ont pour conséquence d’accélérer la désindustrialisation des Etats-Unis et, de ce fait, il prône un retour au protectionnisme. Fidèle à son image de frapper vite et fort, il a instauré des droits de douane qui dépassent l’entendement afin de faire plier ses partenaires commerciaux et les obliger à négocier des accords. Avec les pays réfractaires, une guerre commerciale s’est enclenchée et a atteint son paroxysme, avec l’instauration de droits fixés à 145 % à l’encontre de la Chine ! Le summum concerne les panneaux solaires pour lesquels les droits de douane ont atteint jusqu’à 3521 % ! En effet, dans sa volonté de relancer la filière du photovoltaïque américaine et d’endiguer les mesures de dumping à la production de la filière du solaire par la Chine, les panneaux solaires venant du Cambodge, de Malaisie, de Thaïlande et du Vietnam ont vu leur prix multiplié par plus de 36. Il faut garder en mémoire que, dans cette escalade tarifaire, le perdant est toujours le consommateur car c’est lui qui en supporte in fine les effets.

Les errements de Donald Trump et la guerre commerciale livrée à l’encontre de l’Europe, et surtout de la Chine, ont fait vaciller les marchés de crainte que le commerce mondial ne soit radicalement impacté, que l’inflation ne fasse sa réapparition et que l’économie mondiale ne sombre en récession. Le VIX, l’indice de la volatilité, encore dénommé « l’indice de la peur », a connu, en date du 7 avril, un pic à près de 60 points soit un niveau de stress particulièrement aigu puisque de tels niveaux ne sont apparus que lors de la crise des subprimes (2008) et du covid (2020).

Selon votre profil et votre résistance aux chocs des marchés, vous pouvez soit vous réjouir de cette situation car elle offre immanquablement des points d’entrée sur les marchés pour renforcer vos positions à bon compte, soit décider de rester à l’abri des marchés en attendant que cela se calme.

Si, comme la plupart des épargnants, vous redoutez la volatilité, vous préférerez alors, en l’absence de visibilité, opter pour des supports non risqués et liquides. La liquidité est un facteur clé car elle permet de conserver les mains libres pour être en mesure de déployer une nouvelle stratégie lorsque l’horizon sera de nouveau éclairci.

La Banque Centrale Européenne ayant une nouvelle fois baissé ses taux d’intérêt directeurs, la rémunération des supports d’attente du type compte à terme ou sicav monétaire n’est guère attrayante. En effet, avec un taux fixé à 2,25 %, il est illusoire d’espérer obtenir un rendement supérieur sur des supports de cette nature d’autant plus que le taux directeur devrait atteindre le seuil des 2 % d’ici la fin de l’été.

La meilleure solution consiste à se tourner vers les compagnies d’assurance qui offrent des rémunérations boostées sur leur fonds euro. Avant de succomber aux charmes de ces offres, assurez-vous toutefois que la compagnie vous permette d’investir la totalité sur le support en euros, que celui-ci est de bonne facture, que le versement ne supporte pas de frais et que vous pourrez récupérer vos capitaux à tout moment sans perte du bonus. Si ces conditions ne sont pas réunies, passez votre chemin !

Rappelons que, contrairement à une idée reçue, l’assurance vie permet de récupérer ses capitaux à tout moment sans devoir attendre les huit ans d’ancienneté du contrat et, par conséquent, le fonds euro s’avère être un outil efficace pour rémunérer ses liquidités.

Le contrat NETLIFE, assuré par Spirica (groupe Crédit Agricole), répond à tous ces critères puisque :

• Le rendement du fonds euro en 2023 et en 2024, avec un taux net fixé à 3,13 %, figure parmi les plus performants du marché.
• La compagnie autorise un investissement intégral sur le fonds euro et ne conditionne donc pas le bonus à une obligation de versement sur les supports en unités de compte.
• Les versements effectués sur le contrat NETLIFE ne supportent aucuns frais.
• Les retraits sont possibles à tout moment sans perte du bonus. Il s’agit d’une condition essentielle que peu de compagnies octroient car la plupart conditionne le retrait au maintien des capitaux jusqu’au terme de l’offre promotionnelle. Enfin, sachez que le contrat NETLIFE permet de bénéficier du rachat instantané, dans la limite de 20 000 €, à la condition que celui-ci n’excède pas 60 % de la valeur du contrat. Autrement dit, la liquidité est immédiate et votre compte bancaire est instantanément crédité.

Pour être concret, si vous versez au moins 100 000 € sur le contrat NETLIFE, la compagnie Spirica offre une majoration de 1,10 % du taux de participation aux bénéfices net servi sur le fonds Euro Nouvelle Génération pour les années 2025 et 2026, au prorata temporis de la durée de l’investissement. Sachant que le rendement de ce fonds euro est ressorti à  3,13 % en 2023 et 2024, si son taux demeure constant en 2025 et 2026, votre épargne bénéficiera donc d’une rémunération nette de 4,23 % (3,13 % + 1,10 %) jusqu’au 31 décembre 2026. Ce taux net de 4,23 % est extrêmement compétitif, d’autant plus qu’il n’est assorti d’aucune contrainte de blocage de l’épargne. En intégrant la fiscalité la plus défavorable, c’est-à-dire celle des contrats de moins de 8 ans, cela correspond à une rémunération après impôt de près de 3 %, nettement plus favorable que le livret A. Avec une liquidité immédiate, un rendement supérieur et une absence de plafond de versement, le contrat NETLIFE positionné intégralement sur le fonds euro se révèle donc être un super livret A.

Si vous acceptez que la totalité de votre épargne ne soit pas investie sur le fonds euro, sachez que vous pouvez alors bénéficier d’un bonus de 1,50 % sur le fonds Euro Nouvelle Génération du contrat NETLIFE, soit un rendement net attendu de 4,63 % (3,13 % + 1,50 %) sur 2025 et 2026. Pour ce faire, il convient que votre versement soit supérieur ou égal à 100 000 € et qu’au moins 50 % du versement soit affecté à des unités de compte.

Si vous ne disposez pas de 100 000 € à placer, vous pouvez effectuer un versement sur le support Netissima, le fonds euro du contrat E-Novline et bénéficier d’un bonus de 1,60 % sur 2025 et 2026 à la condition de consacrer au moins 50 % aux unités de compte. Aucune durée de blocage n’est imposée, aussi vous pourrez récupérer vos capitaux à tout moment sans perte du bonus. En revanche, Generali oblige que la pondération de 50 % en unités de compte soit respectée tant au moment du versement qu’au 31 décembre de chaque année. Si l’on suppose que le rendement de Netissima demeure identique en 2025 et 2026 à celui servi en 2024, il en ressort un taux net attendu sur 2025 et 2026 de 4,45 % (2,85 % + 1,60 %).

Ces offres sont les bienvenues en ces moments agités et permettent de passer la tempête sereinement dans l’attente du retour à une meilleure visibilité. N’hésitez pas à nous solliciter, si vous désirez de plus amples informations.